Resumen
La planète est malade. Lhomme est coupable de lavoir dévastée. Il doit payer. Telle est la vulgate répandue aujourdhui dans le monde occidental. Le souci de lenvironnement est légitime : mais le catastrophisme nous transforme en enfants quon panique pour mieux les commander. Haine du progrès et de la science, culture de la peur, éloge de la frugalité : derrière les commissaires politiques du carbone, cest peut-être un nouveau despotisme à la chlorophylle qui savance.
Et rend plus urgent linstauration dune écologie démocratique et généreuse. Une course de vitesse est engagée entre les forces du désespoir et les puissances de laudace.P. B. Bruckner pointe une belle urgence en forme de dilemme : comment alerter sans apeurer, expliquer sans déprimer, changer sans désenchanter. Vincent Giret, Libération. Afin que pousse lécologie de raison, dont dépend notre salut collectif, il faut éradiquer lécologie de divagation.
Bruckner désherbe.